Description
45,00€
J’organise dans mon atelier, à Montpellier, des mini-stages d’initiation à l’aquarelle.
N’hésitez pas à me contacter.
Ce sont des conseils donnés comme dans un cours particulier.
Le coût de cette formation est de 45 € pour une durée de 3 heures, et tout le matériel nécessaire est fourni.
En principe le stagiaire repart avec son aquarelle..achevée !
Voyage dans l’œuvre d’Arthur Rimbaud, en un peu plus d’une centaine de vers, à travers les titres de ses pièces poétiques, sorte d’hommage de Yves Saget au Grand Poète :
« Je t’ai connu, mon Vieux Rimbaud
T’avais seize ans, j’en avais treize
Quand je t’ai lu !
J’ai ressenti tes poésies
Notice et sensations de Forgeron
Et ton soleil
Et la chair de ton Ophélie :
Je l’ai aimée, mon vieux Rimbaud,
Dans sa folie ! »
Neuf autres poèmes qui rappellent l’errance, l’alcool, les peines et les larmes, le doute, les démons de l’écriture. Et puis l’Amour, la maladie, pour finir par l’Oeil du Grand Visionnaire.
Hommage aussi aux quatre artistes « qui ont trouvé quelque intérêt à l’illustration de ma poésie », à Marie- Annick Saget Butori pour ses sables colorés qui illustrent le poème Mon vieux Rimbaud, à Claude Laporte pour ses trois dessins à l’encre de Chine, à Brigitte Maire pour trois de ses monotypes à la gouache noire, et à Emmanuel Mourlet pour trois de ses transferts d’image au trichloréthylène.
J’organise dans mon atelier, à Montpellier, des mini-stages d’initiation à l’Atelier d’Ecriture Poésie.
N’hésitez pas à me contacter.
Ce sont des conseils donnés comme dans un cours particulier.
Le coût de cette formation est de 45 € pour une durée de 3 heures, et tout le matériel nécessaire est fourni.
En principe le stagiaire repart avec son poème..achevée !
J’ai fait une tentative de peindre à l’huile une plaque de verre dans la composition « la dispute ». J’aime assez trouver les titres pour chaque tableau, ce m’est un exercice que j’affectionne particulièrement, mêmes pour les œuvres abstraites à l’extrême, où il faut faire preuve d’imagination pour ne pas tomber dans la narration du quotidien.
J’ai parfois voulu représenter des bouquets de fleurs dans des vases, mais là encore sans m’obliger à la représentation réaliste des fleurs, mais en en cherchant la quintessence dans les formes et dans les couleurs.
Au pays de Rimbaud, dans sa ville natale, j’ai voulu représenter un travail sur sa poésie, et j’ai choisi d’illustrer avec des formats assez grands trois poèmes : « Les effarés, Ophélie et le Forgeron ». En attendant, et pourquoi pas, d’autres titres à travailler !
Et pour compléter cet ouvrage, je souhaitais présenter une soixantaine d’œuvres, j’ai repris les pinceaux pendant ces vacances, et me suis amusé à travailler sur des petits formats en aggloméré ou en isorel des monochromes : terre, rouge, blanc, et plusieurs types de bleus et de mauve. J’ai ainsi testé les textures des couleurs sur les supports, les jeux d’ombre et lumière sur les matières plus ou moins épaisses. Le blanc est difficile, car il tire rapidement sur le gris. Mais son utilisation reste très intéressant.
Je souhaite au lecteur amateur d’art autant de plaisir que j’ai pu avoir à réaliser ces œuvres, à les numériser au scanner ou à l ‘appareil photo numérique, à les mettre en page. Que chacun y trouve son compte, et j’aurai gagné mon pari de mettre en valeur toute ma peinture au travers de ces différents titres de livres d’art !
Suite du dixième recueil, les Poèmes oulipiens paru dans la collection Poésie – Graphisme, Calligrammes et Paysages continue la veine de l’atelier d’écriture poétique. Mais l’influence de la peinture entraîne le poète vers les Calligrammes et les Poèmes-paysages.
Je souhaite au lecteur de prendre autant de plaisir à lire ces textes, et je l’engage de tout mon cœur à prendre lui-même la plume, pour connaître à son tour ces étranges sensations que procurent la création, toutes les formes de création, y compris les calligrammes et les poèmes paysages !
Les illustrations qui composent l’ouvrage, Personnages-rubans, Yves SAGET les a mises en image en utilisant la technique de l’aquarelle sur papier
Le R, si je le décline en homophones, je trouve l’ère, « époque fixe d’où l’on commence à compter les années », « époque où s’établit un nouvel ordre des choses ». Ainsi mes personnages – rubans sont dans l’ère du temps, du temps qui passe, mais parfois ils sont hors du temps… Je trouve aussi l’aire, la « surface de terrain », l’aire de jeu, le « nid des oiseaux de proies ». C’est encore le « domaine où s’étend l’action de quelqu’un ». Mes personnages – rubans auront-ils une aire d’influence ? Le troisième homophone est l’air, « fluide gazeux qui forme l’atmosphère », le « vent léger » riche en locutions de la vie quotidienne :
– En l’air, en haut, au-dessus de la tête
– Le grand air, l’air que l’on respire au dehors
– Prendre l’air, aller se promener
– Paroles, promesses en l’air, sans réalité
– Tête en l’air, personnes étourdies
L’air, c’est aussi « la manière, la façon, l’expression des traits », un air triste, « une ressemblance », un air de famille Là encore, quelques expressions sont caractéristiques de la vie sociale :
– Avoir l’air, paraître
– Sans en avoir l’air, en dépit des apparences
– Prendre de grands airs, des manières hautaines
L’air, c’est enfin la « suite de notes composant un chant ».Riche de cette polysémie, mes personnages – rubans se veulent dans la société, et y expriment certaines sensations, certains sentiments que l’on trouve dans ces locutions consacrées par l’expression populaire. Certains errent dans un espace –lieu et dans un temps – temps bien marqués, d’autres, au contraire, évoluent hors de lieu et de manière intemporelle.
Le lecteur trouvera dans ce recueil d‘aquarelles un panorama complet de mon travail. Que chacun y trouve son plaisir : figuratifs ou abstraits, en portraits en pied ou en décor, que ces personnages – rubans ne laissent personne indifférents, c’est mon plus grand souhait de peintre.
Ce recueil de VINGT POEMES (Extraits des Poèmes Inédits) choisis et illustrés par GERARD BIRLING est né il y a deux ans de la volonté d’un poète, Yves SAGET, et d’un artiste, professeur d’Arts Plastiques, Gérard BIRLING, de travailler ensemble.
TRAITRISE
Ame bien née dans le chaos du monde
Seras-tu pour longtemps
Continuellement
Le traître gueux qui fait de vous une ombre ?
Homme bien né sur cette terre impie
Seras-tu si souvent
Et entièrement
La cause du malheur de notre vie ?
Une formidable unité transparaît dans cette série d’une vingtaine d’aquarelles, réalisées par Gérard BIRLING, à partir de 20 poèmes de Yves SAGET, qu’il a choisis lui-même, unité de tons, unité de type de personnages, mais une extrême variété dans les choix qui ont été faits.
(…) Que dire de cette « traîtrise » symbolisée par cette formidable représentation d’un globe terrestre on ne peut plus réaliste, qui flotte dans l’atmosphère, et dont une vilaine sorcière semble balayer la surface. Pour y faire le ménage ?
J’espère que les lecteurs éprouveront autant d’émotion que celle que j’ai pu ressentir, à mettre en perspective les aquarelles de Gérard BIRLING qui ont si bien mis en valeur ces poèmes qu’il a choisis et qu’il a illustrés avec autant de cœur et de talent. Yves SAGET
Deuxième exposition qui suivit celle de « Peindre et Dire Mailly », le moulin de Verzenay a pris naissance en1992, après que les toiles sur Mailly furent achevées.
Durant ces deux années à peindre Mailly, j’avais déjà réalisé deux toiles sur ce thème. Alors, l’esprit libéré, à la recherche d’un nouveau thème à peindre, je me mis dans l’idée de faire une série sue ce monument : il serait bien d’aller exposer les moulins… pourquoi pas dans les salons d’honneur du Moulin, du moins à Verzenay.
Et je me mis au travail, achetai les toiles et le papier, ainsi que des cadres financés par les ventes de l’exposition précédente, et qui faciliterait grandement le travail de mise en forme de l’exposition en bout de course. Il me fallait, je ne sais pourquoi, peindre soixante tableaux ! Pourquoi soixante ? Rien ne me prédestinait à m’obliger à produire autant, et ma femme me fit la remarque même, un jour, que ça devenait pathologique, de peindre tant de moulins !
Mais ce qui me plaisait, justement, c’était cette notion de séries. Après plusieurs mois de travail, j’aurais été capable de peindre le moulin les yeux fermés ! Ce qui m’intéressa au plus au point, ce fut l’utilisation des différents supports et une recherche sur les dimensions, utilisant un maximum de formats différents.
Cette exposition fut présentée au public les 12 et 13 décembre 2002 dans une salle de la mairie, et jusqu’au 7 février dans les locaux de la bibliothèque municipale de Verzenay
Un voyage en 60 tableaux de l’un des plus jolis sites de la Montagne de Reims, au cœur du vignoble Champenois, pour le plaisir du spectateur
Les Poèmes oulipiens sont nés récemment, après bien des années de recul et de travail réfléchi sur l’écriture poétique, que j’ai l’impression d’avoir pratiqué depuis l’enfance.
Ce recueil de poèmes, une soixantaine au total, a été réalisé ces deux dernières années, avec un objectif double : le premier était de mettre en pratique des techniques d’écriture que j’ai répertoriées depuis longtemps, au cours de mes recherches en atelier d’écriture, de mes lectures, et durant toutes ces années durant lesquelles je poursuivis mes études littéraires. Le second était de produire suffisamment de textes poétiques qui serviraient d’exemple dans les fiches du volume II de Ma pratique d’écritures et d’auto-éditions, cinquante nouvelles fiches à réaliser dans l’aide à la création poétique.
Ainsi les Poèmes oulipiens est le dixième recueil de la collection Poésie ou Poésies & Graphisme que je publie : il vient achever, comme je l’ai annoncé au début de cette préface, le cycle de ma collection d’Atelier d’écriture par le volume II qui suivra la publication de cet ouvrage.
Je suis fier d’avoir redonner naissance à ma Poésie, après toutes ces années d’abandon de l’écriture, à la Poésie ! Et quand je relis les textes, je reste persuadé que derrière les jeux systématiques, voire systémiques des mots, sortent les maux et les idées qui traduisent l’âme du poète. Pour le restant de ses jours !
Je souhaite au lecteur de prendre autant de plaisir à lire ces textes, que j’ai éprouvé à retourner vers ce genre d’écriture et je l’engage de tout mon cœur à prendre lui-même la plume, pour connaître à son tour ces étranges sensations que procurent la création, toutes les formes de création !
Pari gagné si j’apprends un jour qu’un recueil a été écrit à partir des béquilles que j’ai pu donner dans ce livre.
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